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Elisabeth Pacchiano

Contact Elisabeth Pacchiano

Contact : elisabeth@elisabethpacchiano.fr

Biographie Elisabeth Pacchiano

Née à Paris, Elisabeth Pacchiano vit dans le Vercors, près de Grenoble où elle a exercé le métier de psychologue. Elle a deux passions, la littérature et les chevaux. Plusieurs fois récompensée dans des concours, elle a publié un recueil de nouvelles, Petite mécanique de l’absence (2016, éditions du bord du Lot). Elle a également publié deux romans, Les têtes coupées (2012, éditions Jacques Flament) et La tête comme un compteur à gaz (2023, éditions du bord du Lot).

Elisabeth Pacchiano à cheval
Photo Elisabeth Pacchiano

Actualités


Le 7 septembre 2024 à 7h45, interview à France Bleu Isère dans l’émission « A vous de Lire !  » . Un replay est disponible ici .

Le 25 septembre 2024 à 20h à la Baleine Rouge à Sète (34), lecture musicale

Le 26 septembre 2024 de 10h à 17h sur la place du Pouffre à Sète (34), rencontre et dédicaces dans le cadre du festival Automn’Halles

Le 28 septembre 2024 à 16h30 à la librairie Decitre de Grenoble (38), lecture musicale

Le 19 Novembre 2024 à la médiathèque de Lans en Vercors (38) lecture musicale pour l’évènement « Couleurs du monde, nos résistances« 

Le 12 Décembre 2024 à la librairie O bonheur des mots à Saint Bonnet en Champsaur (05), lecture musicale, rencontre et dédicaces

Le 22 Mai 2025 à 18h à la médiathèque de Sète (34) lecture musicale


Les évènements plus anciens sont visibles ici

Dernier roman paru en septembre 2023 aux éditions du bord du Lot

La tête comme un compteur à gaz

Jean-Pierre est content de lui, content de sa vie, de sa famille, de son travail. Mais les bonnes choses ne durent qu’un temps. Des événements en cascade dont une réorganisation dans son entreprise vont ébranler ses convictions. À force d’encaisser les revers de fortune, la tête comme un compteur à gaz, il va disjoncter et engager son avenir dans une voie inattendue.

« Neuf heures seize. La porte du bâtiment s’ouvrit brutalement sur un androïde désintégré par le stress. Ce n’était pas sa faute, c’était à cause des bouchons, de l’engin de chantier, du manque de bol…
Il se hâta de traverser le couloir sans même réaliser que le distributeur n’y était plus. Il s’apprêtait à tourner dans l’allée lorsque son regard croisa celui d’EJ assis dans son bureau. L’expression de ce dernier, teintée de C’est à cette heure-là que tu arrives et Tu ne perds rien pour attendre, acheva de le décomposer ».

Précédentes parutions

2016

Petite mécanique de l’absence

2012

Les têtes coupées

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